dimanche 15 décembre 2013

Bilan


Bilan

Voici les liens vous permettant de lire :

-          notre journal,


-           notre revue de presse

-          et l’interview donnée pour le journal L’Actu :

lundi 3 juin 2013

Journalistes en herbe : La Démarche



Pour la réalisation de nos articles, nous étions organisés en différents desks : économie, musique, désert, artisanat, cuisine, religion.  Nous nous sommes documentés sur chaque thème avant la venue d’Alain Devalpo dans notre lycée et avons réalisé une revue de presse sur la Tunisie, pour savoir ce que l’on disait sur ce pays dans la presse française.
Une fois notre reporter en Tunisie, nous avons trié chaque semaine tous les documents qu’il nous envoyait : articles, photos, interviews… Nous enregistrions ou transcrivions ce qui nous intéressait. En même temps, nous suivions sur la carte de la Tunisie son trajet et mettions à jour la revue de presse.
Grégory


dimanche 12 mai 2013

Plonger dans l’univers d’un documentaire : MAFROUZA



Le 18 avril 2013, nous sommes allé voir le film Mafrouza Oh la nuit ! d’Emmanuelle Demoris, afin de pouvoir imaginer ce que pouvait être le travail d’Alain Devalpo en Tunisie.
Le film a été tourné en Egypte, dans le port d’Alexandrie, dans le quartier de Mafrouza, un bidonville bâti sur les tombes du plus grand cimetière égyptien, un site archéologique romain datant de plus de 2 000 ans.
Plusieurs familles étaient filmées ; chacun était libre de raconter ce qu’il voulait. Au début, on rencontre Adel et Ghada, un jeune couple, puis Mohamed Khattab qui fait vivre sa famille en tenant une petite épicerie. Ensuite, la famille Chenabou qui a pour activité de trier les déchets afin de les recycler  ou encore Abu Hosny qui essaie tant bien que mal de vider sa maison inondée sûrement à cause des décharges dit-il. Enfin, Om Bassiouni qui prépare son pain sous la pluie. Au fur et à mesure on découvre qu’Emmanuelle Demoris est un personnage à part entière que les habitants de Mafrouza ont prénommé « Iman ».

Entre les mariages, les chants, la vie familiale et la triste réalité de la pauvreté, ce documentaire nous fait découvrir un quotidien que nous ne connaissons pas. Au cours du film, on rit, on chante, on pleure : on rentre dans le film comme si on y était. Le spectateur s’introduit en effet, dans leur vie, comme s’il y était, car le documentaire est tourné avec une seule caméra, et il y a juste la réalisatrice derrière la caméra et la traductrice.
Les habitants de Mafrouza n’ont pas peur de ce qui peut leur arriver : ils ne craignent que Dieu.
Le film se finit après une scène banale, c’est comme une immersion de 2h13 dans leur vie avec leur joie et leur misère.
Mathieu, Wilfrid, Inès, Caroline, Linda, Synthia, Mamadou, Moussa



« J’ai beaucoup aimé ce documentaire car j’ai pu voir une vision sur la vie des personnes pauvres qui n’ont pas le quart de ce qu’on a ici. Toutes les scènes du documentaire m’ont plu, surtout le mariage quand deux personnes mettent l’ambiance en faisant des joutes verbales. » Wilfrid.

« C’est la première fois que j’ai vu et aimé un documentaire. Je trouve qu’il est intéressant et j’aimerais bien voir les autres. » Inès

« Mafrouza est un film assez distrayant qui a autant de moments comiques que tragiques. Pour moi, c’est un bon film : je le conseille à tout le monde.» Grégory

« J’ai aimé ce film car il m’a fait rire. Ce film m’a fait découvrir les joies, les peines, les rires de certaines personnes qui n’ont presque rien. Ce film m’a fait voir un quotidien et une culture que nous ne connaissons pas. » Linda.

« J’ai aimé ce film car d’habitude je trouve les documentaires lassants et ennuyeux. Mafrouza m’a beaucoup plu et nous a montré les coulisses de l’Egypte, ce que les touristes ne voient pas. » Moussa

« J’ai aimé car il y avait beaucoup d’animation et ça fait rire. » Johanna

« J’ai aimé le documentaire car il montrait une autre face de l’Egypte qu’on ne voit pas toujours à la télévision ; comme des habitations ravagées par l’eau qui monte jusqu’à 70 cm et personne ne vient aider les familles dans le besoin immédiat. » Jubba.
« Le film était ennuyeux, on n’en voyait pas le bout. Je ne comprends même pas  qu’aujourd’hui, il y ait encore des bidonvilles, sales, avec pleins de déchets autour jusqu’à même inonder leurs maisons. On se demande comment ils arrivent à vivre dans de telles conditions. Comment peuvent-ils vivre comme ça, sans salle de bains, sans cuisine… ? » Doriane.

« J’ai aimé m’immiscer dans leur vie facilement, mais je n’ai pas aimé la longueur du film, et il n’a pas vraiment de rythme ». Mathieu.

« J’ai aimé quand les messieurs chantaient lors des mariages car ils disaient vraiment ce qui leur passait par la tête. Ils rigolaient beaucoup et c’était drôle à voir.  Je n’ai pas aimé quand le monsieur a montré sa maison qui est inondée de partout. Il s’est confié à la caméra en disant qu’au début de l’inondation il s’aidait d’un seau d’eau, mais comme l’eau revenait tout le temps, il a fini par arrêter. Et j’ai eu de la peine pour lui. » Aurélia.


vendredi 19 avril 2013

Visite de RFI à la Maison de la Radio



Nous avons visité les coulisses de RFI, à la maison de la radio, dans le but de nous aider à la création, la construction d’un journal dans le cadre du projet Tunisie.
Le projet Tunisie est un projet avec le journaliste Alain Devalpo, qui fait une expédition en Tunisie, pour répondre à nos questions, pour que nous puissions rédiger un journal sur la Tunisie.
Nous avons été accueillis par Véronique Gaymard, une journaliste travaillant dans me secteur international de RFI. Elle nous a guidés dans les différents secteurs de RFI : le service International qui s’occupe des informations du monde sauf l’Afrique, le service Afrique, le service France, le service Science Santé Environnement, le service Sport, le service Culture et enfin le service Economie.
Nous avons  vu la salle du  SDR ce qui signifie le secrétariat de rédaction ; ce sont les personnes qui décident de ce qui va passer à l’antenne.
Véronique Gaymard a expliqué comment elle enregistrait des informations audio et les segmentait pour que ce soit plus fluide et pour garder le plus important.
Nous avons aussi rencontré Christophe, un autre journaliste, avant son départ en Inde. Il devait suivre là-bas le président français et ensuite assister à une fête religieuse.
Puis, nous avons visité le studio de l’émission de radio où les ingénieurs du son, les assistants et l’animateur travaillent en diffusant de l’information et répondant aux témoignages.
La radio RFI est écoutée dans le monde entier et diffuse de l’information 24h sur 24. Les présentateurs s’organisent pour que cela ne s’arrête jamais.
A RFI, nous avons appris à traiter les informations et à voir comment les journalistes travaillent.
Le métier de journaliste est très actif car ils partent souvent en reportage et créent eux-mêmes leurs articles ; cette visite m’a appris beaucoup de choses.
Mathieu, Soraya & Aurélia
Notre avis
« En visitant les locaux de la maison de la radio, j’ai découvert pas mal de choses que j’ignorais avant » Aurélia.
« Cette visite nous a permis de mieux connaître le métier du journaliste. J’aurais aimé rester plus longtemps dans le studio : cela m’a beaucoup plu. » Soraya.
« J’ai trouvé cette sortie très intéressante car elle m’a appris le métier d’un journaliste, d’ingénieur su son, des métiers qui me plaisent. Mais j’ai trouvé que la sortie était trop courte : nous n’avons pas pu tout visiter à cause du temps et du déménagement en cours. » Synthia.
« Je trouve que cette sortie a été très intéressante et enrichissante car c’est un métier actif, diversifié et social. J’aurais aimé voir la régie sportive en action. » Grégory.
« En conclusion, la visite était très constructive car nous avons vu les dessous de la radio que nous écoutons et toutes les équipes déployées pour une simple émission. » Jubba.
« Cette visite nous a permis de connaître le métier de journaliste, de voir les services de rédaction. Mais la visite n’a pas duré longtemps et j’aurais aimé rester plus longtemps pour découvrir d’autres choses. » Johanna
« La sortie dans l’ensemble m’a plu ; le métier de journaliste est un travail actif et très divers. J’aime beaucoup le fait de voyager dans des pays pour de courtes durées» Moussa
« J’ai d’autant plus apprécié la visite car nous avons suivi une émission en direct. » Djeneba.











jeudi 18 avril 2013

La rencontre avec Alain Devalpo



Lundi 14 janvier, la classe de 2nde AG1 a accueilli le journaliste Alain Devalpo. Nous devions faire sa connaissance et lui poser les questions que nous avions préparées en cours.
Il nous a parlé de son métier, comment il travaillait, de ses missions. Il nous a dit ce qu’il comptait faire pendant son voyage en Tunisie ; qu’il allait prendre son avion à l’aéroport d’Orly pour atterrir à Tunis où il allait passer une dizaine de jours pour repartir et continuer ses interviews.
Pour sa venue, nous avions décoré la salle avec des affiches sur quelques sujets concernant le projet Tunisie comme la musique, la nourriture ou encore les entreprises.
Alain Devalpo nous a raconté qu’il avait fait du journalisme dans d’autres pays tels que le Mali, Haïti, le Sénégal, le Chili, mais qu’il n’avait jamais découvert la Tunisie.

Doriane, Hassna, Soraya

Nos travaux de recherche

Cette année, nous partons à la découverte de la Tunisie.




Nous avons effectué des recherches, sur ce pays, avant la venue, dans notre classe, du journaliste Alain Devalpo qui sera notre envoyé spécial en Tunisie.

mercredi 17 avril 2013

Bienvenue

Bienvenue sur le blog des journalistes en herbe d'Erik Satie.
Grâce à Alain Devalpo et à l'association Zalumée, la classe de 2AG1 se lance dans la construction de l'information !